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Charles Serfaty : "Histoire économique de la France"(Passés Composés)
Charles Eloi VIAL : "Marie-Antoinette" (Perrin)
Marie-Hélène BAYLAC : "Louise Michel" (Perrin)
Christophe Barbier "Peuple de colères" (Fayard)
Invités :
Annette Becker, historienne. Laurent Larcher, journaliste : "Sous la direction de Stéphane Audouin-Rouzeau, Annette Becker, Samuel Kuhn, Jean-Philippe Schreiber, Le choc. Rwanda 1994 : le génocide des Tutsi" (Gallimard)
Frédéric Le maitre, correspondant du "Monde" à Pékin
Philippe Hourcade, professeur honoraire à l'Université de Limoges, président de la Société Saint-Simon , spécialiste de la littérature française des XVIIe et XVIIIe siècles
Geneviève Haroche-Bouzinac, professeur émérite à l'Université d'Orléans, spécialiste des correspondances : "Madame de Sévigné" (Flammarion)
Il y a 70 ans, le 8 mai 1954, l’armée française était défaite à Diên Biên Phu, au nord Viêt Nam par les troupes du Viet Minh menées par le général Giap. Cette défaite, qui a marqué la fin de la présence française en Indochine, a été vécue comme un traumatisme national, 14 ans seulement après la défaite de 1940. Que s’est-il passé à Diên Biên Phu ? Quelles leçons peut-on en tirer ? Frédéric Mounier reçoit Pierre Servent, officier de réserve, journaliste, ancien conseiller ministériel et porte-parole du ministère de la Défense et enseignant à l’École de guerre. Il publie "Diên Biên Phu, les leçons d'une défaite - Connaître hier pour comprendre aujourd’hui" (éd. Perrin, 2024).
Quand on parle de la vie éternelle on pense à quelque chose qui concerne l'au-delà, à une donnée mystérieuse dont seuls les morts savent si elle existe. Les chrétiens l'affirment dans leur Credo, c'est-à-dire le texte par lequel ils professent leur foi : la vie éternelle existe. Dans la pensée chrétienne, on peut même la vivre dès maintenant. Pour comprendre de quoi il s'agit, Marina Copsidas, théologienne orthodoxe, a été puiser dans les écrits des mystiques et des docteurs de l'Église.
L'Avent est le temps liturgique de préparation à Noël. Il dure en moyenne un mois chaque année et, comme le carême, il nous incite à préparer nos cœurs pour accueillir le Sauveur. Les moniales dominicaines du monastère de Chalais, en Isère, nous offrent leur réflexion sur le thème de l'attente et de la patience que suppose un temps de préparation.
Pour la dernière série Halte spirituelle de l’Avent, et dans le cadre de notre programmation spéciale Noël, Mgr Jean-Marc Eychenne, évêque du diocèse de Grenoble-Vienne, a tenu, dans une démarche synodale, à ce que les membres de son conseil épiscopal puissent eux aussi nous enseigner sur le sens spirituel de Noël.
Ainsi, après Mgr Jean-Marc Eychenne (épisode 1), Véronique Alzieu reçoit le Père Emmanuel Decaux, vicaire général (épisode 2) ; Sœur Véronique-Marie Hervé, vierge consacrée (épisode 3) ; Michel Peillon, diacre permanent (épisode 4), et Odile Grébille, laïque, déléguée diocésaine (épisode 5).
Dans cette archive Véronique Alzieu s’entretien avec le père Pierre Michalon décédé en 2004. Très fin connaisseur du père Couturier, il fut lui-même un fervent partisan de l’œcuménisme qu’il pratiqua pendant près de 40 ans comme membre du groupe des Dombes.
Avec la prière et le jeûne, le partage est l’un des piliers du Carême. On parle aussi d’aumône ou de charité : de quoi s’agit-il ? Est-il question, durant le Carême, de distribuer des biens matériels à plus pauvre que soi ? Ou bien y a-t-il d’autres formes de partage ? Pour en parler, Madeleine Vatel reçoit Thierry Deslauriers, directeur général de l'association Aux captifs, la libération et auteur du livre "Charité à mains nues" (éd. Artège, 2023).
La semaine sainte et la fête de Pâques à laquelle elle aboutit, sont les moments les plus importants de l’année pour les chrétiens. Au cours de ces jours, on fait mémoire de la passion, de la mort et de la Résurrection du Christ. Des journées décisives à la fois d’un point de vue historique et d’un point de vue spirituel.
Marie Skobtsov, orthodoxe, est née dans la Russie impériale, puis elle a fui la révolution rouge et s'exila en France. Devenue moniale, elle n'a eu de cesse d'accueillir les plus pauvres. A sa mort au camps d'extermination de Ravensbrück, les témoignages affluent pour dire combien sa vie était donnée. Elle sera canonisée, et déclarée Juste pour avoir sauvé de nombreux juifs. Toute sa vie, jusqu'à ses derniers instants parmi les détenus, fût un combat pour le salut de tous.