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CD de l'émission
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Avec : Pierre Servent, journaliste pour TF1 et LCI, officier de réserve, ancien conseiller ministériel et porte-parole de la Défense, auteur du livre "Les sept vies d'Adrien Conus" (éd. Perrin, 2022) ; Maxime T
ON entend dirent beaucoup de choses sur la maladie d'Alzheimer, mais les causes de cette maladie restent un peu mystérieuse...
Pour parler de cette maladie Béatrice Soltner vous propose le regard d'une psychanalyste . IL s'agit d'Elisabeth Allery
Pour en parler, Frédéric Mounier reçoit Antoine Boulant, historien, auteur de "Robespierre - La vertu et la terreur" (éd. Perrin / Bibliothèque nationale de France), et Charles-Éloi Vial, conservateur au service des manuscrits modernes et contemporains du département des Manus
En France, une personne sur cinq est en souffrance psychique ou mentale. Dépression, troubles bipolaires, autisme ou encore schizophrénie, ce n’est que depuis récemment que l’on traite de ces sujets. La 33e Semaine d'information sur la santé mentale est l'occasion de se pencher sur les personnes touchées par ces problématiques, mais aussi sur leurs soignants et leurs accompagnants.
Est-ce que certains peuples sont choisis plus que d’autres pour suivre Dieu ?
C’est à la question de l’universalisme que s'intéresse l'émission à partir d'un texte du livre de la Sagesse, le chapitre 12.
Anne de TINGUY : ""Le géant empêtré"" (Perrin)"
(Mt 21, 33-43)
Dans le débat entre foi et raison, l'intérêt n'est pas tant de les opposer mais de voir comment elles s'articulent. On peut aussi dépasser ce besoin de prouver scientifiquement l'existence de Dieu. Et se tourner vers ce que les récentes découvertes en neurosciences nous montrent : la grande complexité de l'être humain. Depuis 30 ans, on sait que le psychisme, les émotions et la vie spirituelle agissent sur la biologie. Une nouvelle approche scientifique de l'humain, où les croyances ont toute leur place.
Il est commun d'entendre dire que les religions sont misogynes et que les hommes s'assurent les meilleurs places que se soit à l'église, à la synagogue ou à la mosquée. Les chrétiens ne sont pas épargnés par les critiques même si l’on a vu ces 50 dernières années des femmes devenir pasteur dans le protestantisme et même quelques unes d’entre elles accéder au sacerdoce ou à l’épiscopat dans l'Église anglicane. Pourtant, quand on revient aux sources scripturaires du christianisme, les femmes ont la part belle. Elles suivent Jésus depuis le début de sa vie publique jusqu'à sa Résurrection et l'homme de Nazareth leur donne une vraie place, ce qui constituait à l’époque une petite révolution. Dans son livre "Jésus, l'homme qui préférait les femmes"
L’accompagnement des prêtres est une tâche prioritaire dans les diocèses.
Avec Anne-France de Boissière, directrice de la formation et de la transformation pastorale au sein d'Alpha France et responsable de Pasteurs Selon Mon Cœur, et Olivier, président de Talenthéo.
En France, sur les 10 000 prêtres diocésains en exercice, 3 000 ont au-delà de 75 ans. S'ils se considèrent toute leur vie au service des autres, beaucoup ont du mal à prendre soin d’eux. Entre solitude et surmenage, l’accompagnement des prêtres vers la vieillesse et la perte d’autonomie est encore en construction.
Qui suis-je pour aller voir un membre de ma communauté chrétienne et lui dire qu’il a fauté ? Ne serait-il pas plus facile, et surtout plus prudent, de ne pas me mêler de ce qui ne me regarde pas ? D'ailleurs, Jésus parle bien de cette "poutre" qui m'empêche d'y voir clair (dans l'évangile de Matthieu, chapitre 7). Alors de quel droit irais-je vers mon frère avec la prétention de l'aider à rentrer dans le droit chemin ? L'évangile de ce dimanche vient nous interroger au sujet de ce que les catholiques appellent "la correction fraternelle". C'est l'évangéliste Matthieu qui fait parler Jésus sur le sujet, lui qui rédige ce texte en s'adressant aux premières communautés chrétiennes. Explications du pasteur James Woody.
Porter sa croix pour suivre Jésus, perdre sa vie pour la garder... À première vue, l'Évangile de ce dimanche n'affiche pas un programme des plus réjouissants ! Jésus est en route pour Jérusalem, où l'attend l'hostilité des puissants. Chemin faisant, il prévient ses disciples que les jours à venir seront difficiles. Comment comprendre où veut en venir cet homme ? se demandent ceux qui l'accompagnent. Le Christ peut-il souffrir et mourir à Jérusalem ? Cette question est au cœur du récit de l'évangéliste Matthieu. Explications de la théologienne Patiaré Bergeret.
"Travailler plus pour gagner plus." On connaît le fameux slogan et la logique économique qui veut que plus le temps de travail est long, meilleur sera le salaire. L’évangile de ce dimanche vient balayer ces calculs et remettre en cause le droit du travail. Normal, c’est une parabole ! Et comme à chaque fois que Jésus utilise ces petites histoires allégoriques, il vient interroger nos façons de voir le monde, de penser ce qui est juste et ce qui ne l’est pas, et bousculer nos certitudes... Cette fois-ci, il compare le royaume de Dieu à un vigneron qui distribue le même salaire à tous ses ouvriers, qu’ils aient travaillé une journée ou une heure. Explications de la bibliste Marie-Reine Mezzarobba.
Frédéric Mounier reçoit Jean-Marc Le Page, historien, chercheur associé à l'université Rennes-II, spécialiste de la guerre d'Indochine, de l'histoire du renseignement et de la guerre froide en Asie. Il est l'auteur du livre "La bombe atomique, de Hiroshima à Trump" (éd. Passés Composés, 2021).
(Mt 22, 15-21)
Émission diffusée en 2016
Frédéric Mounier reçoit Jean-François Colosimo, essayiste et éditeur, auteur de "La Crucifixion de l’Uk
L'histoire millénaire de l'Ukraine est marquée par des luttes incessantes pour exister. Véronique Alzieu reçoit l'historien franco ukrainien Yeroslav Lebedinsky pour retracer cette histoire.
Un homme qui vit à crédit avec une ardoise de plusieurs millions se voit remettre sa dette par son patron. L’heureux gracié tout à sa joie aurait pu rayonner de reconnaissance en s’inspirant de l’événement. Mais voilà qu’il se transforme en débiteur intraitable pour quelques malheureuses pièces d’argent… Allégé d’une dette colossale, il va séquestrer son prochain pour infiniment moins, s’enfermant lui-même dans une colère torturante. Cette histoire, c’est Jésus qui la raconte au disciple Pierre pour lui expliquer les lois de l’absolu pardon qui fonde le royaume des cieux. Explications de Patrick Laudet, diacre permanent.
Aux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).
La règle de Saint Benoit traverse les siècles...et délivre à qui veut bien la lire, une aide à vivre en communauté, et plus largement en société. Et finalement avec soi-même ! C'est en tout cas la lecture qu'en fait Don Guillaume, moine cistercien.