.
Filtrer par
Catégories
Prix
Couleur
CD de l'émission
.
La IIIème République instaure l'école publique, gratuite, obligatoire et laïque. Il s'agit de généraliser l'instruction et d’encrer les valeurs républicaines dans la société française.
A partir de 1881, à travers les lois Jules Ferry, la IIIème République instaure l'école publique, gratuite, obligatoire et laïque. Il s'agit de généraliser l'instruction et d’encrer les valeurs républicaines dans la société française. L'historien Jérôme Krop est au micro de Véronique Alzieu pour évoquer cette semaine la naissance de cette école dont le modèle va perdurer jusqu'aux années 60.
Alors que l'histoire fait l'objet de réécritures incessantes, que l'on parle de "déboulonner des statues", à quoi riment l'enseignement et la transmission de l'histoire ? On en parle avec Alain Péron, communicant, co-fondateur de l'agence No Com, créateur de la pièce de théâtre "Vous n’aurez pas la Bretagne !" (au théâtre de la Contrescarpe, Paris) et Ambroise Tournyol du Clos, historien, enseignant, auteur du livre "Rien n'échappe à l'histoire - Dans l'atelier des historiens" (éd. Salvator, 2023).
et Jean-Louis de la Vaissière, ancien correspondant à Berlin et Bonn pour l'AFP.
Il y a trois ans Catherine Toutfaire perd son mari dans des conditions dramatiques. Maman de 3 enfants, elle s'effondre, perd 30 kilos... La communauté paroissiale prend alors le relais, l'étaye de ses prières et lui parle d'une retraite dans la vie... C'est dans ce cœur à cœur avec le Seigneur que Catherine entend cette parole : "Tu as du prix à mes yeux, tu comptes beaucoup pour moi et je t'aime "(IS 43). Petit à petit,, grâce à la fréquentation quotidienne de la Parole de Dieu Catherine Toutfaire se redresse et reprend pieds dans la vie. Aujourd'hui, c'est elle qui le dit : "je suis une nouvelle créature dans le Seigneur" !"
Il est des passages fondateurs dans l'Évangile, et l'épisode raconté par Matthieu ce dimanche fait partie des moments-clés de la vie d'un disciple. Alors que Jésus se trouve en territoire étranger, il se met à sonder son entourage au sujet de ce que les foules disent de lui. La rumeur et les on-dit ne l'intéressent guère : ce qu'il désire, c'est donner la possibilité à ceux qui le suivent de près de s'interroger personnellement et de se positionner. "Pour toi qui suis-je ?" Cette question à laquelle Pierre va répondre est adressée à chacun d'entre nous. Elle signe la délicatesse de Jésus, qui n'impose pas sa messianité mais qui interroge nos propres attentes. Explications de Jean-Marie Ploux, prêtre de la Mission de France et auteur de "L'Év
Lequel d'entre nous ne s'est pas laissé aller dans le feu de la discussion à des affirmations aussi péremptoires que non vérifiées ? Les artistocrates sont tous réactionnaires ; les Anglais sont excentriques, les gauchers sont maladroits ; les Gaulois étaient râleurs et bagarreurs ; les Chinois sont fourbes ; les Tziganes sont des voleurs de poules ; ce sont les riches qui gouvernent la France ; les Arabes sont tous violents... Trop souvent ces raccourcis, ces préjugés, polluent nos échanges. Mais d'où viennent-ils ? Que signifient-ils ? Pour en parler, Frédéric Mounier reçoit l'historien Xavier Mauduit et Jeanne Guérout, historienne et journaliste. Ils ont tous les deux dirigé la publication de l'ouvrage "Histoire des préjugés" (éd. Les Arènes, 2023).
Avec : Pierre Servent, journaliste pour TF1 et LCI, officier de réserve, ancien conseiller ministériel et porte-parole de la Défense, auteur du livre "Les sept vies d'Adrien Conus" (éd. Perrin, 2022) ; Maxime T
ON entend dirent beaucoup de choses sur la maladie d'Alzheimer, mais les causes de cette maladie restent un peu mystérieuse...
Pour parler de cette maladie Béatrice Soltner vous propose le regard d'une psychanalyste . IL s'agit d'Elisabeth Allery
Pour en parler, Frédéric Mounier reçoit Antoine Boulant, historien, auteur de "Robespierre - La vertu et la terreur" (éd. Perrin / Bibliothèque nationale de France), et Charles-Éloi Vial, conservateur au service des manuscrits modernes et contemporains du département des Manus
Qui n’a pas connu la morsure de la jalousie, cette brûlure qui peut survenir dès l’enfance ? La Bible la fait intervenir dès la création du monde, avec le meurtre d'Abel par Caïn. Pour Marie-Reine Mezzarobba, bibliste et théologienne, la Bible nous aide à reconnaître les symptômes de la jalousie. Elle est l'auteure de "Ce que dit la Bible sur la jalousie" (éd. Nouvelle cité).
En France, une personne sur cinq est en souffrance psychique ou mentale. Dépression, troubles bipolaires, autisme ou encore schizophrénie, ce n’est que depuis récemment que l’on traite de ces sujets. La 33e Semaine d'information sur la santé mentale est l'occasion de se pencher sur les personnes touchées par ces problématiques, mais aussi sur leurs soignants et leurs accompagnants.
Est-ce que certains peuples sont choisis plus que d’autres pour suivre Dieu ?
C’est à la question de l’universalisme que s'intéresse l'émission à partir d'un texte du livre de la Sagesse, le chapitre 12.
Anne de TINGUY : ""Le géant empêtré"" (Perrin)"
(Mt 21, 33-43)
Dans le débat entre foi et raison, l'intérêt n'est pas tant de les opposer mais de voir comment elles s'articulent. On peut aussi dépasser ce besoin de prouver scientifiquement l'existence de Dieu. Et se tourner vers ce que les récentes découvertes en neurosciences nous montrent : la grande complexité de l'être humain. Depuis 30 ans, on sait que le psychisme, les émotions et la vie spirituelle agissent sur la biologie. Une nouvelle approche scientifique de l'humain, où les croyances ont toute leur place.
Il est commun d'entendre dire que les religions sont misogynes et que les hommes s'assurent les meilleurs places que se soit à l'église, à la synagogue ou à la mosquée. Les chrétiens ne sont pas épargnés par les critiques même si l’on a vu ces 50 dernières années des femmes devenir pasteur dans le protestantisme et même quelques unes d’entre elles accéder au sacerdoce ou à l’épiscopat dans l'Église anglicane. Pourtant, quand on revient aux sources scripturaires du christianisme, les femmes ont la part belle. Elles suivent Jésus depuis le début de sa vie publique jusqu'à sa Résurrection et l'homme de Nazareth leur donne une vraie place, ce qui constituait à l’époque une petite révolution. Dans son livre "Jésus, l'homme qui préférait les femmes"
L’accompagnement des prêtres est une tâche prioritaire dans les diocèses.
Avec Anne-France de Boissière, directrice de la formation et de la transformation pastorale au sein d'Alpha France et responsable de Pasteurs Selon Mon Cœur, et Olivier, président de Talenthéo.
En France, sur les 10 000 prêtres diocésains en exercice, 3 000 ont au-delà de 75 ans. S'ils se considèrent toute leur vie au service des autres, beaucoup ont du mal à prendre soin d’eux. Entre solitude et surmenage, l’accompagnement des prêtres vers la vieillesse et la perte d’autonomie est encore en construction.
Qui suis-je pour aller voir un membre de ma communauté chrétienne et lui dire qu’il a fauté ? Ne serait-il pas plus facile, et surtout plus prudent, de ne pas me mêler de ce qui ne me regarde pas ? D'ailleurs, Jésus parle bien de cette "poutre" qui m'empêche d'y voir clair (dans l'évangile de Matthieu, chapitre 7). Alors de quel droit irais-je vers mon frère avec la prétention de l'aider à rentrer dans le droit chemin ? L'évangile de ce dimanche vient nous interroger au sujet de ce que les catholiques appellent "la correction fraternelle". C'est l'évangéliste Matthieu qui fait parler Jésus sur le sujet, lui qui rédige ce texte en s'adressant aux premières communautés chrétiennes. Explications du pasteur James Woody.
Porter sa croix pour suivre Jésus, perdre sa vie pour la garder... À première vue, l'Évangile de ce dimanche n'affiche pas un programme des plus réjouissants ! Jésus est en route pour Jérusalem, où l'attend l'hostilité des puissants. Chemin faisant, il prévient ses disciples que les jours à venir seront difficiles. Comment comprendre où veut en venir cet homme ? se demandent ceux qui l'accompagnent. Le Christ peut-il souffrir et mourir à Jérusalem ? Cette question est au cœur du récit de l'évangéliste Matthieu. Explications de la théologienne Patiaré Bergeret.
"Travailler plus pour gagner plus." On connaît le fameux slogan et la logique économique qui veut que plus le temps de travail est long, meilleur sera le salaire. L’évangile de ce dimanche vient balayer ces calculs et remettre en cause le droit du travail. Normal, c’est une parabole ! Et comme à chaque fois que Jésus utilise ces petites histoires allégoriques, il vient interroger nos façons de voir le monde, de penser ce qui est juste et ce qui ne l’est pas, et bousculer nos certitudes... Cette fois-ci, il compare le royaume de Dieu à un vigneron qui distribue le même salaire à tous ses ouvriers, qu’ils aient travaillé une journée ou une heure. Explications de la bibliste Marie-Reine Mezzarobba.